Le parti TAJ dénonce les campagnes visant les institutions algériennes

Le parti Tajamoue Amal el Djazair (TAJ), a dénoncé avec « force » samedi à Alger la campagne orchestrée visant à porter atteinte aux institutions et symboles de l’Etat, qualifiés de « ligne rouge à ne pas franchir ».  Dans un communiqué ayant sanctionné la 5e session ordinaire de son Conseil national, TAJ a appelé les Algériens à s’unir autour des institutions et symboles de l’Etat, dénonçant avec « force » la campagne orchestrée qui les ciblent. Le parti a réaffirmé par la voix de son président, Amar Ghoul son engagement à soutenir le président de la République, Abdelaziz Bouteflika et son programme de réformes qui a touché les domaines politique, économique et sociale, notamment dans le contexte national actuel et face aux défis régionaux.

M. Ghoul a, en outre, salué l’attachement de l’Armée nationale populaire (ANP) digne héritière de l’Armée de libération nationale (ALN) à ses missions constitutionnelles consistant toujours, selon lui, à préserver l’indépendance et à défendre la souveraineté nationale, saluant son rôle et ses efforts aux côtés des différents corps de sécurité dans la préservation de la sécurité et de la sérénité du pays au plan interne et au niveau des frontières, ce qui contribue au renforcement des acquis de la stabilité. Il a, d’autre part, affirmé l’impératif de réhabiliter les cadres marginalisés, voire exclus ou victimes d’injustices, en vue de les associer aux efforts de développement. Au volet Education, il a appelé les parties concernées par ce dossier au niveau des ministères, syndicats et coordinations, de même que les enseignants et les parents d’élèves à faire prévaloir le dialogue positif, responsable et fructueux, d’autant qu’il y va de l’avenir des générations futures.

Au niveau international, M. Ghoul a salué les efforts déployés par l’Algérie pour assurer le succès du dialogue inter-libyen et le soutien au gouvernement d’union, se félicitant du rapprochement et de l’unité palestinienne et appelant la communauté internationale à trouver une solution rapide à cette question. Il a en outre appelé à permettre au peuple sahraoui d’exercer son droit à l’autodétermination, à travers l’organisation d’un référendum libre et transparent. Il a salué à cet effet les prémices d’une accalmie et le retour au dialogue en Syrie et au Yémen, qualifiant l’approche algérienne qui consacre la solution politique, la réconciliation nationale et l’ingérence dans les affaires internes de « meilleur mécanisme pour le règlement des conflits » (APS)