L’Algérie appelle le Conseil de sécurité à rejeter d’une seule voix le déplacement des Palestiniens

13.01.2024. L’Algérie a appelé, vendredi, par la voix de son représentant permanent auprès des Nations Unies à New York, l’ambassadeur Amar Bendjama, la communauté internationale, notamment le Conseil de sécurité, à rejeter d’une « seule voix » le déplacement des Palestiniens, et ce, lors de la réunion du Conseil de sécurité sur le déplacement forcé des Palestiniens.

Lors de la réunion convoquée par l’Algérie, l’ambassadeur Bendjama a rappelé les déclarations du président de la République, M. Abdelmadjid Tebboune, qui a souligné que « ce qui se passe à Gaza restera une marque d’infamie dans la conscience de l’humanité », soulignant que « personne dans cette salle ne doit rester silencieux face à ces projets. Le silence est synonyme de complicité ». Et d’ajouter que « la situation à Gaza nous interpelle car ce qui s’y passe dépasse l’entendement mais nous ne devons pas aussi oublier ce qui se passe en Cisjordanie et à El-Qods ». Le représentant de l’Algérie s’est également interrogé: « n’est-il pas assez d’avoir tué plus de 23.000 personnes, dont plus de 10.000 enfants, et blessé plus de 60 000 autres? n’est-il pas assez d’avoir détruit plus de 60% des constructions à Gaza et que tous les habitants de Gaza soient confrontés à la famine? la communauté internationale acceptera-t-elle que plus de 2 millions de personnes souffrent de faim et de maladie? ».

L’Algérie a appelé, vendredi, par la voix de son représentant permanent auprès des Nations Unies à New York, l’ambassadeur Amar Bendjama, la communauté internationale, notamment le Conseil de sécurité, à rejeter d’une « seule voix » le déplacement des Palestiniens, et ce, lors de la réunion du Conseil de sécurité sur le déplacement forcé des Palestiniens. Lors de la réunion convoquée par l’Algérie, l’ambassadeur Bendjama a rappelé les déclarations du président de la République, M. Abdelmadjid Tebboune, qui a souligné que « ce qui se passe à Ghaza restera une marque d’infamie dans la conscience de l’humanité », soulignant que « personne dans cette salle ne doit rester silencieux face à ces projets. Le silence est synonyme de complicité ».

Et d’ajouter que « la situation à Gaza nous interpelle car ce qui s’y passe dépasse l’entendement mais nous ne devons pas aussi oublier ce qui se passe en Cisjordanie et à El-Qods ». Le représentant de l’Algérie s’est également interrogé: « n’est-il pas assez d’avoir tué plus de 23.000 personnes, dont plus de 10.000 enfants, et blessé plus de 60 000 autres? n’est-il pas assez d’avoir détruit plus de 60% des constructions à Gaza et que tous les habitants de Gaza soient confrontés à la famine? la communauté internationale acceptera-t-elle que plus de 2 millions de personnes souffrent de faim et de maladie? » (APS)