L’Académie algérienne des sciences et des technologies tient sa 3e Assemblée générale
28.12.2024. L’Académie algérienne des sciences et des technologies (AAST) a tenu le 17 décembre dernier à Alger, sa troisième assemblée générale (AG) en présence de représentants de plusieurs instances nationales.
Dans une allocution à l’occasion, le président de l’AAST, Mohamed Hicham Kara, a souligné que la tenue de cette assemblée « intervient dans un contexte particulier marqué par l’application progressive et effective des textes réglementaires régissant l’académie, récemment adoptés et ce, grâce aux efforts et aux contributions de tous les membres ». Il a mis en exergue, en particulier, « deux opérations majeures », dans le parcours de l’académie, à savoir « l’appel à candidatures pour la qualité de membre de l’académie et le lancement du concours du Prix de l’académie, dédié dans sa première édition aux jeunes chercheurs, et placé sous le patronage du Conseil du renouveau économique algérien (CREA), présidé par M. Kamal Moula ».
A ce propos, le même responsable a souligné que son institution scientifique avait « soumis plusieurs notes thématiques au président de la République concernant plusieurs questions d’importance nationale, notamment le renforcement de la coopération scientifique africaine, l’intelligence artificielle générative et la problématique de la formation doctorale ». De son côté, M. Moula a fait savoir que le CREA était une organisation « œuvrant sans relâche pour faire face aux défis économiques croissants et aux nouvelles évolutions technologiques », mettant en avant « l’importance des avancées technologiques et la nécessité de s’adapter rapidement aux nouveaux défis ».
Il a également insisté sur l’importance d’une étroite coopération avec les laboratoires de recherche pour développer des solutions répondant aux besoins émergents imposés par la dynamique économique et participer au développement des projets et des start-up au sein des incubateurs, ce qui incarne parfaitement l’intégration de l’économie dans l’espace scientifique et académique. A ce propos, le même responsable a souligné que son institution scientifique avait « soumis plusieurs notes thématiques au président de la République concernant plusieurs questions d’importance nationale, notamment le renforcement de la coopération scientifique africaine, l’intelligence artificielle générative et la problématique de la formation doctorale » (APS)