L’UGTA dénonce les campagnes tendancieuses contre l’Algérie
L’article d’un ancien fonctionnaire européen qui a osé comparer la situation d’Alep à la situation en Algérie continue de faire des vagues. Après l’ambassadeur d’Algérie en Belgique et le ministre des affaires étrangères, c’est au tour de l’UGTA de dénoncer ce qu’elle a appelé des « agressions tendancieuses » alimentées par des « milieux nostalgiques » aux « relents néocolonialistes » visant l’Algérie dans sa sécurité et sa stabilité. Dans un communiqué rendu public mercredi à l’issue de la réunion de sa direction nationale, la Centrale syndicale s’est élevée contre cette campagne aux « relents néocolonialistes et à des fins spéculatives sur la force de stabilité et de paix de notre pays qui dérange leurs desseins ».
« Ces penseurs, que les fortes convictions de l’Algérie dérangent, ignorent la réalité de notre pays », souligne l’UGTA, ajoutant que malgré cette « animosité », l’Algérie « ne peut, en aucune façon, être atteinte par ce déferlement de délires alimentant des fantasmes et des nostalgies dévoyés ». « L’Algérie qui a mené, seule, il y a plus d’une décennie sa propre guerre contre le terrorisme et l’extrémiste violent, dont elle est sortie victorieuse, s’est engagée résolument dans le processus démocratique garantissant la stabilité du pays, le fonctionnant normal de ses institutions, la relance de son économie pour son développement durable et le progrès social », relève la même source.
Pour la Centrale syndicale, « la consolidation du processus démocratique, la construction du développement de notre pays, la confortation de la paix, de la stabilité et de la sécurité, dépendent de notre solidité interne par la confiance de notre peuple en son Président et par la vigilance de notre peuple et de ses forces vives, de notre Armée nationale populaire et de nos services de sécurité » (APS)