Quand l’AFP se fait le porte parole d’une organisation terroriste et séparatiste
Une dépêche de l’agence de presse française « AFP » louant jeudi le mouvement terroriste »MAK » a été perçue comme un dérapage, provoquant une grande indignation, notamment au sein de milieux médiatiques algériens, car elle soutient clairement les activités de cette organisation terroriste. Ce »dérapage dangereux » intervient, selon plusieurs observateurs, après une opération »sécuritaire d’envergure » qui a permis à la direction générale de la sûreté nationale (DGSN) l’interception d’une tentative d’attaque terroriste dans certaines régions du pays par des individus appartenant au mouvement terroriste »MAK ».
Cette opération a été sanctionnée par l’arrestation de 17 éléments de cette organisation terroriste, ainsi que la découverte des tenants et aboutissants d’un complot mené en collaboration avec l’entité sioniste et un état d’Afrique du nord. Ces mêmes milieux s’interrogent sur l »’étrange » méthode utilisée par l’AFP pour louer cette organisation terroriste en contradiction avec les principes et la déontologie du métier d’informer, au point de devenir »une tribune de choix » pour une organisation classée parmi les organisations terroristes dangereuses, et qui a été confondue par les enquêtes et des preuves irréfutables pour sa propension pour l’extrémisme et la violence avec l’utilisation d’armes et armements de guerre, ainsi que les publications et tracts de propagande incitant au séparatisme et la violence.
Cette sortie médiatique confirme l’implication de certains lobbies qui contrôlent une information orientée sur la déstabilisation de certains pays, en particulier l’Algérie, visée par des conspirateurs contre un pays tenace et inébranlables dans ses positions historiques. Ce dérapage n’est pas le premier du genre, car d’autres dépêches du même genre l’ont précédée, loin des engagements du professionnalisme,dont le but est d’occulter les réalités et les manoeuvres, ainsi que servir des agendas représentant une époque révolue. Ce même dérapage médiatique intervient quelques jours seulement après des déclarations provocatrices du président français, qui ont visé la Nation algérienne (APS)